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il y a 5 ans

Je m’appelle Fanny, je suis la poupée docile de ma cousine Amanda. Avant que je ne la rencontre, j’étais un garçon et je m’appelai Franck. Je venais d’avoir tout juste dix-huit ans, et d'obtenir enfin mon bac (au bout de la deuxième fois, quand même !).

Ma grande tante (la sœur de ma grand-mère) que je n’avais pas vue depuis trois ans avait demandé à mes parents que je passe quinze jours chez elle, Tante Amélia voulait me voir avant mon entrée à l’université.

J’aimais beaucoup ma grande tante, elle était très gentille. Elle habitait un ancien corps de ferme dans les Alpes maritimes, un peu à l’écart. Ma grande tante avait toujours aimé le calme, médecin dans un hôpital suisse, elle avait acheté cette maison et profitait maintenant de sa retraite.

Je savais qu’Amanda devait venir passer quelques jours. Georges, le fils de ma grande tante s’était marié avec Lizbeth, il y a quinze ans. Cette dernière avait une fille de six ans d’un précédent mariage, Amanda. J’étais impatient de la rencontrer.

Maintenant âgée de vingt et un ans. Je reçus le choc de ma vie quand je vis ma cousine pour la première fois, même dans mes rêves les plus fous je n’aurais osé imaginer une fille aussi magnifique. Un visage d’ange (j’aurais dû me méfier) une poitrine à tomber par terre, et un corps parfait. Elle aurait pu rivaliser avec les plus grands mannequins des magazines.

Mes vacances se déroulaient dans la plus grande joie, jusqu’au jour où j’avais eu la mauvaise idée d’aller voir d’un peu plus près la chambre de ma cousine. Cette après-midi-là, Amanda et ma tante étaient parties se promener autour du petit étang qui juxtaposait la maison. Je profitais de cette absence pour voir à quoi ressemblaient les dessous de ma cousine. Je ne sais pas si ce n’est que par provocation, mais régulièrement j’avais droit au décolleté plongeant, qu’elle exposait devant mes yeux sous prétexte de s’intéresser à mes lectures.

Ou allongé sur le ventre pour essayer de ressembler à un homard, elle prenait un malin plaisir à s’installer dans un fauteuil en face de moi, écartait ses jambes en secouant sa jupe, et s’exclamait : « qu’est-ce qui fait chaud », tu ne trouves pas Franck. De l’endroit où je me trouvais, j’avais une vue plongeante sa petite culotte toujours plus ou moins transparente, ce qui avait le don de m’exciter au plus haut point.

Frustrais de ne voir que des échantillons et sachant pertinemment qu’il m’était impossible d’approcher mes mains de ce corps sublime. Je rêvais de profiter pleinement de toute la beauté que cette platine de rêves aurait pu m’offrir, mais ce n’était qu’illusion. Je pris donc, la résolution d’aller voir au moins à quoi ressemblaient les petites culottes de ma cousine, non seulement comme exutoire, mais surtout par curiosité.

J’attendis donc qu’elles s’éloignent et fissent semblant de monter dans ma chambre, une fois en haut de l’escalier, je jetais un coup d’œil un peu partout. Après une inspection rapide, et convaincue d’être enfin seule, je me dirigeais vers la chambre de ma cousine. Doucement j’ouvrais la porte de peur qu’elle ne grince, une fois rentré, je la refermais tout aussi doucement. Je connaissais cette chambre pour y avoir déjà fait des excursions quand ma tante Amélia y dormait, il y a quelques années.

Il y avait une armoire à deux portes, un côté-penderie et un côté étagère, avec en dessous deux grands tiroirs, les valises de ma cousine se trouvaient sur le haut du meuble, je pensais donc que toutes ces affaires se trouvaient à l’intérieur de l’armoire. Mon cœur battait la chamade, je commençais par ouvrir le côté étagère, sous la deuxième étagère se trouvait un tiroir que je m’empressais d’ouvrir.

Je découvris un véritable trésor. Les soutiens-gorge côtoyaient les petites culottes, tout aussi belles les unes que les autres, blanches transparentes, à dentelles, rouge, noir. J’étais ébahi ce panachage de couleurs et par tant de beauté. Après les avoir admirés, j’en sortis quelques-unes que je posais sur le lit pour les voir de plus près.

Pris par une fièvre de curiosité, je décidais de continuer mes investigations, j’ouvrais le deuxième tiroir. Là, je restais bloqué pendant deux minutes, je découvrais des portes-jarretelles et des bas de toutes les couleurs et de styles. Je n’en pouvais plus, mon excitation était à son comble. Ni tenant plus, je pris les bas dans mes mains, je les touchais, ils étaient si doux, c’est à ce moment-là que j’entendis les voix de ma tante et de ma cousine, je n’avais pas vu le temps passer.

Fébrile par la découverte que venais de faire, je me dépêchais de tous ranger et de sortir de la chambre le plus rapidement possible. Les battements de mon cœur dépassaient certainement les cent vingt pulsations minute, mais j’essayais de garder mon sang-froid. En sortant du palier, je tournais pour descendre l’escalier, lorsque je me retrouvais nez à nez avec Amanda.

  • D’où sors-tu ? Me demanda-t-elle ?

Je me trouvais bête, je n’avais que quelques secondes pour trouver une réponse.

  • j’ai cru entendre du bruit dans ta chambre. Répondais-je ?

Je devais être rouge de honte, elle me regarda droit dans les yeux, avec un petit sourire et me dit :

  • oui, c’est ça.

Je me retrouvais dans une situation inconfortable. Que signifiait elle avec son oui, c’est ça ? Pendant le dîner, ma cousine et ma tante semblaient se concerter, elles me regardaient avec insistance sans dire un mot, puis… retournaient à leurs discussions dont apparemment j’étais le centre. Se doutaient-elles de quelque chose ? C’est vrai que j’avais fait vite pour remettre en place tous ces trésors. Honteux, je décidais d’aller me coucher sans plus attendre.

Toute la nuit, je rêvais de ces petites culottes, bas, soutiens-gorge et autres porte-jarretelles. Le jour suivant, j’essayais consciencieusement d’éviter ma cousine ce qui devenait un exploit, car elle, visiblement, cherchait à me croiser, étant donné la grandeur de la propriété de ma grande tante, il m’était impossible de ne pas les croiser au moins trois ou quatre fois dans la journée. Avec une pointe de malice, elle me regardait et me demandait :

  • Qu’est-ce que tu es rouge mon petit Franck, tu dois avoir chaud, ou c’est moi qui te fais cet effet ?

  • Non, non, j’ai simplement chaud.

Au moment du repas, ma cousine me demanda si je voulais l’accompagner en ville. Je lui répondis que non, je devais préparer mes affaires pour mon départ le surlendemain. Je me réjouissais de pouvoir passer, enfin, une journée sans jouer à cache-cache avec ma cousine. Le lendemain j’attendais que ma cousine et ma tante soient parties pour descendre déjeuner, je repensais à ces trésors que j’allais devoir laisser, au bout de dix minutes, n’en pouvant plus, je décidais de refaire une dernière excursion avant de partir.

Il était quatorze heures quand je décidais de montées dans la chambre de ma cousine. Avec la plus grande prudence, je rentrais dans sa chambre, je me dirigeai à grande vitesse sur les deux tiroirs de l’armoire et j’en sortais le contenu, que de merveille, j’essayais de rassembler les soutiens-gorge, les culottes, les porte-jarretelles de mêmes styles ou de même couleur pour me faire une idée, surtout imaginer ce que donnerais ces dessous intimes sur le corps de ma cousine.

J’avais fait le tour des combinaisons possible et imaginable quand il me prit l’idée d’ouvrir la penderie, je pouvais voir accroché à des cintres des jupes, des robes, des chemises, des vestes. Dans le bas de la penderie se trouvait des chaussures de toutes les formes et de toutes les couleurs, je ne comprenais pas pourquoi les filles prenaient toujours autan d’affaires, pour en fait ne jamais les mettre.

Ma curiosité m’emmena à ouvrir les tiroirs du bas, en dessous de la penderie et des étagères. Un drap bien plié sur le dessus du tiroir semblait dissimulait quelque chose, je le soulevai, en dessous se trouvais des sacs qui semblait être des couches pour bébé, mais en plus grand, ma curiosité n’ayant pas de limite, j’osais en sortir un paquet pour voir de près ce que c’était. Quelle ne fut pas ma surprise que je me trouvais en face de couche pour adulte ! Ma cousine porterait elle encore des couches ?

Est ce que détiendrait un petit secret ? Fier de la découverte qui me donnait enfin un avantage sur ma cousine (je me trompais), j’ouvris le deuxième tiroir. Même drap posé sur le dessus. Je l’enlevai et je restais bouche bée devant ma découverte. Il y avait à l’intérieur, des culottes en plastique, et des choses qui ressemblaient à des pénis en caoutchouc, des sangles en cuir.

J’avais l’impression de me trouver dans un sex-shop. Je sortais une culotte pour regarder de plus près, cela avait une odeur particulière qui me rappelait mon enfance, en avais-je moi aussi quand, j’étais bébé ?

Je reposai les draps, fermai les tiroirs et retournai à mes petits ensembles. Je regardais toutes ces culottes et autres sous vêtements qui me disaient « essaye-moi, ressens la douceur que je peux t’apporter ». J’avais déjà essayé les affaires de ma grande tante et de ma mère, sans que personne ne s’en aperçoive. De toute façon ma cousine en avait tellement qu’elle ne s’en apercevrait pas.

Je décidai donc de prendre un ensemble pour l’essayer le soir même, pendant que tout le monde serait au lit. Pensais-je ? Je rangeai les tiroirs du mieux que je me rappelais et sortais de la chambre en toute discrétion.

Ma cousine et ma tante rentrèrent en fin d’après midi, à les voir sortir les sacs de la voiture elles avaient dû dévaliser les magasins. Elles regardèrent un peu dans tous les sens quand elles jetèrent leurs dévolus sur moi.

  • Franck, peux-tu nous aider ?

  • Après avoir poussé un soupir, je me décidai à l’aider.

  • Ne bougez pas, j’arrive !

  • Qu’est ce que vous avez acheté ? Demandais-je, amusé ?

  • Rien que des trucs de fille.

Résolu à ne pas avoir plus de détails, je me contentai de prendre les sacs et de les monter dans la chambre d’Amanda. Après le souper, elle se dirigea vers moi et me demanda si quelqu’un était rentré dans sa chambre. Certainement un peu rouge, je lui répondis :

  • Je ne crois pas, du moins je n’ai vu personne.

  • Bizarre. me répondit - elle

C’est ce soir-là que j’ai appris qu’il ne faut jamais toucher aux affaires des filles. Pensant avoir échappé au pire, je me dirigeai vers ma chambre. J’attendais patiemment qu’il n’y ait plus de bruit dans la maison.

Le silence était total dans la maison, je pouvais enfin essayer ce que j’avais emprunté à ma cousine, c’était un ensemble tous rouge en dentelle très fine avec des bas blancs. J’enlevai mon pyjama et je commençai à sortir du dessous de mon oreiller mon trésor, je posais le soutien-gorge avec difficulté, comment faisait les filles pour attacher les agrafes derrière le dos ?

Après cinq bonnes minutes de tentative, je finis par accrocher le soutien-gorge, je posais les porte-jarretelles puis la culotte, vint le tour des bas. Je devais faire attention à ne pas les déchirer.

Une fois habillé, je commençais à me caresser, c’était si doux. À chaque fois que je passais ma main sur ma poitrine, j’avais l’impression qu’il manquait quelque chose. Je décidai de remplir les balconnets vides. Je prenais des chaussettes que je posais à l’intérieur des bonnets. Cette fois-ci, tous y étaient. Je me caressais et me masturbais sans retenue.

Je commençais à sentir un certain plaisir quand la porte de ma chambre s’ouvra, j’avais eu juste le temps de remonter les draps sur moi. Je vis avec surprise ma cousine rentrer dans ma chambre.

  • Coucou Francky, on s’amuse bien ?

  • Qu’est ce que tu fais ici ?

  • je viens rendre visite à ma voleuse !

  • Comment ça ?

  • Tu ne m’aurais pas emprunté des affaires par hasard ? Soulève tes draps un peu.

  • Mais pourquoi ? Je suis nu, c’est gênant.

Je n’avais pas eu le temps de dire « ouf » qu’elle souleva les draps. Honteux je me recroquevillais dans la position du fœtus.

  • Quelle jolie petite fille !

  • Je savais bien que c’était toi qui m’avais pris mes affaires. Je dois te punir.

-De quoi tu parle Amanda, je ne suis pas une fille, je voulais seulement comprendre ce que vous pouviez ressentir quand vous portiez cette lingerie.

  • C’est bien ce que je pensais, tu es une petite fille mal éduquée et tu as besoin que l’on t’apprenne les bonnes manières.

  • Tu dois apprendre à être une jeune fille obéissante et serviable comme moi.

Moi, habillé de sous vêtement féminin je la regardais éberlué, ne comprenant pas où elle voulait en venir. Amanda s’approchât de moi, se pencha à mon oreille et me dit :

  • Maintenant tu vas faire tout ce que je te dis ou des parents seront ravis d’apprendre que tu te travestis.

  • Tu ne vas pas faire ça ? Dis Amanda !

  • Je vais me gêner, de plus demain, je demande à tes parents pour que tu restes le temps des vacances avec nous.

  • Ça ne va pas, je rentre chez moi.

  • Je ne suis pas si sûr que toi. Elle sortit son appareil photo.

Je n’avais pas eu le temps de réagir que le flash de l’appareil m’éblouissait.

  • Qu’est-ce que tu disais ma petite voleuse, que tu voulais rester avec moi pour le reste des vacances, c’est gentil de ne pas me laisser seul chez Tata Émilie.

Amanda faisait séchait la photo de son kodak et me montra le résultat, il est vrai que nous étions en plein été est qu’il faisait assez jour pour que la photo me montrât dans une posture et dans une tenue tant soit peu équivoque. Je m’avouais vaincu. Résignais, je lui demandai :

  • Qu’est ce que tu attends de moi ? Moi aussi je peux dire ce que j’ai trouvé dans ta chambre.

  • Je reçus une gifle d’une telle force que je suis resté sans réaction pendant un moment. Amanda qui venait de me gifler me regarda avec des yeux noirs :

  • écoute-moi bien petite peste, ce que tu oublis, c’est que je suis majeur et ne vivons plus avec mes parents, pas comme toi, en plus comment vas-tu faire pour justifier que tu as regardé dans mes affaires ?

Effectivement je me retrouvais comme un idiot, j’étais pris au piège. Je n’avais plus qu’à me soumettre le temps des vacances à ces désirs. Je ne me doutais pas à ce moment-là jusqu’à où cela pouvais m’emmener.

  • Maintenant tu vas me suivre jusqu’à ma chambre. Je vais prendre soin de toi. Me dit Amanda.

  • Mais…

Je reçus une deuxième claque.

  • Tu me suis, je te dis.

Amanda me pris l’oreille la tourna légèrement et tira, la douleur était tellement forte que je ne demandais pas mon reste et je suivais.

  • Je peux me changer avant ? Demandais-je

  • Non salope, tu es bien comme tu es ! Me susurra à l’oreille.

Toujours tirais par l’oreille, Amanda la tourna un peu plus, pour éviter qu’elle me l’arrache, je pliais mes jambes pour la suivre et je me retrouvais à genoux à côté de son lit. Amanda se dirigea vers une malle que je n’avais pas vue jusqu'à présent trop obnubilé par l’armoire, elle prit une boite en carton et l’ouvrit. Elle en sortit deux bracelets en cuir équipé d’un mousqueton, me regarda et me lança :

  • Je me doutais que tu me préparais quelque chose !

Elle avait décidé de mon sort dès ma première visite dans sa chambre, qui à part un gamin de mon âge aurait eu l’idée de venir fouiller les affaires intimes de jeunes femmes ?

Amanda me tira les mains en arrière et me posa les bracelets un par un en les serrant très fort, puis accrocha les mousquetons aux deux bracelets. Elle me regarda et demanda :

  • Qu’est ce que tu voudrais que je te fasse découvrir sur les filles ? Maintenant que j’ai une salope pour le reste des vacances à ma disposition, je crois que je vais m’amuser un peu. Tu sais que j’adore que l’on me lèche la chatte ?

Amanda me prit par les cheveux.

  • Lèche- moi, salope ! Je veux que tu boives de mon nectar ! Elle mit mon visage à hauteur de ces parties intimes.

Amanda souleva sa nuisette, elle portait une culotte en plastique rose transparente avec à l’intérieur des couches, elle prit ma tête et appuya mon visage sur sa culotte. Le plastique sentait l’urine, elle se servait de mon visage pour se masturber, je voyais que les couches avaient déjà servi, je sentais sur mon visage le coton mouillé.

  • J’ai une idée salope ! Puisque tu connais mon secret, je vais le partager avec toi. Il faut bien que tu me serves à quelque chose ? Qu'en penses-tu ?

Amanda se mit à genoux sur le lit, leva ces petites fesses, et abaissa sa couche.

  • Tu vas faire ce que je te dis, ou demain matin tout le monde verra la photo. Tu vas te lever, t’allonger sur le dos et mettre ta tête en dessous de ma chatte.

  • Ça ne va pas la tête, je vais avoir mes cheveux dans ton urine.

Un coup claqua sur mon pénis, je ne l’avais pas vu sortir sa cravache. Elle venait de cingler mes parties génitales. Une douleur aiguë se fit sentir. Je compris très vite que pour l’instant je n’avais pas le dessus. Je pris la résolution à contrecœur de faire ce qu’elle me demandait.

Le lit était recouvert d’un film plastique assez épais, je montai sur le lit, les mains toujours attachées, je me rapproché d’Amanda, mes cheveux se posèrent sur la couche tandis que mon nez se trouvait face à face avec son vagin. Amanda descendit ses fesses. Les parties intimes d’Amanda sentaient un mélange de talc et de pipi. C’était horrible.

  • Maintenant ma petite salope, tu vas lécher tout ce qui se trouve à ta portée. Je descends encore un peu pour que tu puisses bien me nettoyer.

Les cheveux trempant dans l’urine je me mis à lécher avec un certain dégoût au départ, puis sentant que les muqueuses d’Amanda s’humidifiaient de plus en plus, j’accélérai le mouvement. Pris par ces gémissements de plus en plus forts, je m’attelai à la tâche, Amanda coulait de plaisir et j’en buvais le nectar.

-Ooooh oui… explosa’ elle.

À ce moment-là, comme pour garder le plus longtemps possible les effets de sa jouissance, elle serra ces jambes contre mon visage et s’assit carrément ses fesses sur ma figure. Puis elle se leva légèrement pour me laisser de l’air. Je relevais la tête quand elle me prit par les cheveux et plaqua ma tête contre le fond de sa couche.

  • Tu vas voir comme c’est bon.

Sans avoir eu le temps de réagir, je me retrouvais inondé d’un liquide chaud sur tout mon visage. Il rentrait par toutes les ouvertures, la bouche, le nez, les oreilles, les yeux. Amanda m’unirait dessus.

  • Ca fait du bien ? À ton tour de prendre un peu de plaisir ! Déclara-t-elle ?

Amanda se leva, me dégagea la tête, enleva sa culotte et sa couche. Elle retourna à la malle, sortis un sac vide et un rouleau de scotch. Elle sortit aussi deux autres bracelets.

Je me demandai ce qu’elle allait encore inventer ? Elle me retourna sur le ventre, m’attrapa les cheveux, me posa le visage contre le matelas et s’assit sur mes mollets. Elle m’attrapa les pieds que j’essayai de bouger tant que je pouvais, et commença par les attacher avec les bracelets et posa les mousquetons, mes pieds étaient entravés.

Elle me détacha les mains qu’elle me ramena sous mon ventre pour les passer l’intérieur de mon entrejambe, puis attacha ma jambe droite à ma main gauche et vice versa. Je me retrouvais le cul en buse, dans l’impossibilité de bouger, je pouvais encore crier, mais pas pour longtemps. Elle me retourna et posa ses parties intimes sur mon nez et mes yeux.

Respirant avec difficulté j’ouvrais la bouche, elle en profita pour y glisser une boule munie d’une sangle qu’elle serra sans ménagement. Je goûtai pour la première fois à un bâillon. Cette fois-ci, je ne pouvais plus ni bouger, ni parler.

Maintenant elle contempla son œuvre.

  • Elle n’est pas mignonne comme cela ? Je pense qu’il faut que tu apprennes à apprécier les couches-culottes, autant que je les apprécie !

  • AIE ! Qu’est ce qu’elle va encore me faire subir ? Pensai-je ?

A l’attention du lecteur. La suite de cette histoire érotique va extrêmement loin dans les pratiques telle que l’uro, la féminisation, les contraintes, lavement particulier et les couches. Vous êtes prévenus.

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